Le secret des pierres d'Ica "



Lieux Géographiques  et Historiques

des aventures de Dany Ballantine et du professeur Joseph Winter



Lieux :
France Montségur ( Ariège )
Pérou La Paz ( 827 Cerro Rico )
Tégucigalpa 5 juillet ( Honduras ) à Copán et au confins de la jungle du Honduras-Guatemala ( 12 jours de Copán )
Ile de Paques, Pérou NAZCA ( à 400 km de Lima et 50 km des côtes de l'océan Pacifique )
Pérou, cordillère des Andes, Amazonie péruvienne en 1450, rivière Urubambu, Machu Pichu.
Environs du lac Titi Caca, TIAHUANACO ( 300 000 ans avant notre ère )
Roswell ( Nouveau Mexique ) près de Corona en 1947.
Haut-plateaux du Colorado, cote Est, Mont Rainier 4300 mètres ( volcan ) cascade Moutain ( 5 juillet 1947 )
Environs de Lima, à 15 km Sud-Ouest.

Cartes géographiques des lieux de l'aventure :

                                                             
               ile de Pâques ( Chili )        Zone crash de l'Ovni de Roswell     Carte Sat pistes de Nazca           Carte Sat de TIAHUANACO

Epoque :
Début 3 Juillet 1999 plus 12 jours de marche de Copan à la cité Mayas ( pyramide de Wolfen ) ensuite voyage temporelle 
jusqu'a Montségur.
de Montségur en 1999 à l'ile de Paques en Aout 1720 et de l'ile de Paques en 1720 à Monségur en Juillet 1999 le 20 ! 
( Voyage temporel )
Montségur Pérou 21 juillet 1999 ( en vaisseau temporel )
un bond dans le temps a bord du vaisseau Alien en 1450 .
de nos jours à 1450 au Pérou, cordillière des Andes, Amazonie péruvienne, riviére Urubambu, Machu Pichu. ( Temporel )
de 1450 a Machu Pichu à - 300 000 ans à TIAHUANACO. ( Temporel )
de TIAHUANACO - 300 000 à Roswell-Corona ( Nouveau Mexique ) le 4 juillet 1947 ( Temporel )
de Roswellaux Haut-plateaux du Colorado ( 5 juillet 1947 ) vaisseau temporel.
des Haut-plateaux du Colorado ( 1947 ) à Lima et plaine de Nazca ( 27 juillet 1999 )

                                                             
     Plan de la région du Machu Pichu       Plan Machu Pichu       Plan de la région du mont Rainier     Plan des Andes ( Pérou )

Durée de l'aventure :
du 3 Juillet 1999 au 27 Juillet 1999 ) 24 jours

Parcours :
de Montségur à La Paz 
de La Paz à Tegucigalpa
de Tegucigalpa à la jungle du Honduras-Guatémala
de la jungle du Guatémala à l'ile de Paques
de l'ile de Paques à Nazca
de Nazca à l'Amazonie péruvienne ( Machu Pichu )
de Machu Pichu à Tiahuanaco 
de Tiahuanaco à Roswell ( Nouveau Mexique )
de Roswell au Colorado ( Haut-plateaux ) environs Mont Rainier
des environs du Mont Rainier à la banlieu de Lima 
de la banlieu de Lima à Nazca 

                                                                                             
                                                                    Parcours de l'aventure du ( Le secret des pierre d'Ica )

Dossier Temporel :
Temps /  Hyper Espace /   Espace-temps /  Trou noir / Paradoxe Temporel /  Univers parallèle/    La quatrième dimension /   
Vitesse de la lumière /

                                                                

Les lieux ( voyages hors du temps )
Début 3 Juillet 1999 plus 12 jours de marche de Copán à la cité Mayas ( pyramide de Wolfen ) ensuite voyage temporelle
jusqu'a Montségur.
de Montségur en 1999 à l'ile de Pâques en Aout 1720 et de l'ile de Pâques en 1720 à Monségur en Juillet 1999 le 20 !
( Voyage temporel )
Montségur Pérou 21 juillet 1999 ( en vaisseau temporel )
un bond dans le temps a bord du vaisseau Alien en 1450 .
de nos jours à 1450 au Pérou, cordillère des Andes, Amazonie péruvienne, rivière Urubambu, Machu Pichu. ( Temporel )
de 1450 a Machu Pichu à - 300 000 ans à TIAHUANACO. ( Temporel )
de TIAHUANACO - 300 000 à Roswell-Corona,  Nouveau Mexique ( le 4 juillet 1947 vaisseau Temporel )
de Roswell aux Haut-plateaux du Colorado ( 5 juillet 1947  vaisseau temporel )
des Haut-plateaux du Colorado ( 1947 ) à Lima et plaine de Nazca ( 27 juillet 1999 )


003 Le secret des pierres d'Ica /   FRANCE ( Montségur ) HONDURAS ( Tegucigalpa ) GUATEMALA ( Petén )
                                                                CHILI  ( Ile de Pâques ) PEROU- ( Lima ) BOLIVIE ( Nazca )
TIAHUANACO 
                                                                NOUVEAU MEXIQUE ( Roswell  ) ETATS UNIS ( Colorado )

                                                                                   
                     Jungle du Guatémala                         Survol du temple par un OVNI                           Symbole du trident 



GEOGRAPHIE

MONTSEGUR ( Ariège )
Montségur (en occitan Montsegur,  le Mont Sûr ) est une commune française, située dans le département de l'Ariège et la région
Midi-Pyrénées.
Le village est surtout réputé pour son château cathare.
Ses habitants sont appelés les Montséguriens.
Les premières traces d'occupation du site remontent à l'époque de l'Homme de Néandertal, il y a environ 80 000 ans comme en témoignent les grottes du Tuteil et de Caougno.
L'époque romaine laissera aussi sa trace puisque l'on a pu retrouver des pièces de monnaie et des outils sur le site et aux alentours.
Ce village tire son nom de sa situation inexpugnable comme place de guerre (mons securus en latin > mont segur en occitan :
(le mont sûr ).

                                                       
               Village de  Montségur " en occitan Montsegur,  le Mont Sûr "  ( Ariège )                          Château de Montségur

L'époque médiévale
Au Moyen Âge, Montségur et sa région, passeront successivement de la domination des comtes de Toulouse, à celle des vicomtes
de Carcassonne, et enfin celle des comtes de Foix.
Trois forteresses se succèderont au sommet de la montagne (appelée aussi pog ou pech) qui surplombe le village actuel.
De la première forteresse, on ne sait peu de choses si ce n'est qu'elle était en ruines aux alentours de 1204.
La suivante fut celle de la période cathare.
Le village était à cette époque au sommet de la montagne, dans la forteresse.
En juillet 1241, un premier siège eut lieu,
mais la forteresse ne fut pas prise.
Après un siège de 10 mois en 1244, le village fut détruit.
Le château fut vraisemblablement restauré et remanié vers la fin du XIIIe siècle, pour donner la forteresse actuelle.
Un nouveau village fut également construit à l'emplacement actuel.
L'Ahnenerbe, groupe de recherches mystique et ésotérique nazi, créé par Himmler, chercha dans le château cathare de Montségur
la trace du Saint-Graal qui aurait été prétendument dissimulé ici par les Cathares avant leur disparition.
Château de Montségur
Située sur la commune de Montségur dans le département de l'Ariège et la région Midi-Pyrénées.
Le château est situé sur le point culminant de la montagne qui surplombe le village, à 1 207 mètres d'altitude.
Le château de Montségur (Montsegur en occitan) est qualifié de château cathare. En effet, ce château fut implanté à l'emplacement arasé de l'ancien village fortifié qui constituait, jusqu'au siège de 1244, le lieu de résistance des cathares
et des faydits.
Les cotes architecturales démontrent que le château actuel fut conçu sur la base de la canne anglaise qui ne fut introduite
qu'ultérieurement ce qui prouve que celui-ci a été partiellement reconstruit par la famille du nouveau Seigneur des lieux, le Maréchal de la Foi Guy II de Lévis après la reddition cathare de 1244.
HISTOIRE
Le château sur le site actuel a connu trois époques majeures au cours desquelles la forteresse se transformera peu à peu.
Une première forteresse fut érigée au sommet de la montagne, appelée aussi pog (un Pog, est l'interprétation libre, par Napoléon Peyrat, d'une forme ariègeoise du mot occitan, pech, du latin podium, signifiant "éminence", pour désigner la montagne en forme de pain de sucre de Montségur.
Cette version est désormais communément admise, mais exclusivement au bénéfice de Montségur), dont on ne sait peu de choses si ce n'est qu'elle était en ruines aux alentours de 1204, date à laquelle le village fortifié cathare fût bâti sous la direction de Raymond de Péreille. C'est le village fortifié ou castrum auquel les archéologues ont donné le nom de Montségur II.
La forteresse cathare
Le dispositif défensif de cette forteresse était différent de celui que l'on connaît actuellement.
Le castrum en lui-même comprenait la demeure fortifiée du seigneur des lieux, le castellum ou castèl en occitan (qui sera sans doute restauré par la maison de Lévis pour donner la forteresse actuelle) et le village cathare de l'époque entourés par une enceinte fortifiée. Du côté de la route actuelle, se dressaient trois murs de défense dont le premier se situait au niveau du guichet actuel pour la visite payante du château. De l'autre côté du pog, à 800 mètres environ, se
trouvait une tour de guet (au Roc dit de "La Tor" 'la tour') surplombant une falaise de 80 mètres. L'entrée du Castrum qui donne sur cette tour de guet était défendue par une barbacane.
À l'intérieur de l'enceinte de la forteresse, se dressait un village dont il ne reste que quelques terrasses au nord-ouest du château actuel. Sur ces dernières, on y trouve les fondations de plusieurs habitations, des escaliers pour communiquer
entre les terrasses, une citerne et un silo.
Montségur abritera une communauté cathare importante. En 1215, le concile de Latran cite la forteresse comme étant un repère
d'hérétiques.
En 1229, le rôle de Montségur comme abris pour l'Église cathare est réaffirmée dans le traité de Meaux-Paris.
À partir de 1232, ce rôle ne cesse de se renforcer.
Parallèlement, le château accueillera également les chevaliers faydits qui furent dépossédés de leur terres par le traité de 1229.
Au nombre de ces derniers figure Pierre-Roger de Mirepoix, cousin de Raymond de Péreille qui sera le maître militaire de Montségur.

La PAZ (Bolivie)
Nuestra Señora de La Paz, couramment désignée simplement La Paz, est une ville de Bolivie. Siège du gouvernement national, elle est souvent considérée comme la capitale administrative de facto de la Bolivie.
Fondée le 20 octobre 1548 par le capitaine Alonso de Mendoza sous le nom de Ciudad de Nuestra Señora de La Paz (La Ville de Notre Dame de la Paix), la ville a prospéré grâce à sa situation stratégique sur les routes commerciales coloniales.
Suite à la guerre d’indépendance (1809 – 1825) la ville changea de nom pour devenir La Paz de Ayacucho en hommage à la victoire d’Ayacucho.
La Paz devient le siège du gouvernement bolivien en 1898.
La ville de La Paz s’est développée dans la vallée de Chuquiago Marka entourée par les montagnes Huayna Potosí (6094 m) et Nevado Illimani (6460 m), non loin du lac Titicaca.

                                                                                    
                         Nuestra Señora de La Paz,  couramment désignée simplement  La Paz,  est une ville de Bolivie.

Elle est située dans le département de La Paz, dans la province de Murillo.
Sa topographie atypique en fait la capitale la plus haute du monde.
La ville, dont le centre se situe à 3600 mètres d’altitude, s’étend sur un dénivelé de plus de 1000 mètres entre les
quartiers aisés de la zone sud: Florida, la Rinconada, Achumani, ou Aranjuez (3020 m) et le haut plateau d’El Alto (4000 m),
refuge des classes défavorisées.
Actuellement, l'aire métropolitaine compte environ 2,5 millions d'habitants. El Alto, anciennement la banlieue de la ville
de La Paz , est depuis 1985 une ville à part entière, devenant la 3e ville la plus peuplée du pays.
Elle occupe les hauts plateaux surplombant la capitale.
La ville a été, depuis toujours, le siège des bouleversements politiques et sociaux qui ont marqué l'histoire du pays, comme, par exemple, le cri libertaire du 16 juillet 1809 ou bien d'autres, plus récents, comme la révolution nationale en 1952.
Climat
Il y fait plutôt froid toute l'année, même si la topographie implique différents climats.
Deux saisons sont bien marquées.
L'été, les températures atteignent 17-20 degrés, au centre-ville. Néanmoins, les précipitations se concentrent durant l'été (l'hiver dans l'hémisphère nord.)
Ce qui a pour conséquence de rafraîchir passablement l'atmosphère.
C'est également pour ça que les quelques précipitations sous forme de neiges ont plus de probabilités de se produire en été.
L'hiver est très sec et toujours ensoleillé. L'amplitude thermique y est asssez élevée. -5 à 20 degrés.
Le rayonnement solaire fait beaucoup de dégâts.
La douce sensation de chaleur au soleil nous fait oublier ses risques surtout à cette altitude.

HONDURAS
La République du Honduras est un pays situé en Amérique centrale, limité au nord par la Mer des Caraïbes, qui compte de nombreuses îles, cayes et îlots dont les plus importants sont les Islas de la Bahía et les Îles de la Cigogne (voir version anglaise ou espagnole pour plus d'informations).
Le Honduras est aussi bordé à l'est par le Nicaragua, à
l'ouest par le Guatemala et au sud par le Golfe de Fonseca, le Salvador et le Nicaragua.

                                                        
                   Les Mayas occupent la presqu'île du Yucatán et les zones voisines du Honduras et du Guatemala actuels.

HISTOIRE
Le Honduras était habité par des peuples autochtones, on peut citer les Lencas, les Mayas, les Chortis, les Pech, les Tolupans, etc. Christophe Colomb arriva à Trujillo (Honduras) en 1502.
Il baptisa cette région Honduras, ce qui signifie «profondeurs» en espagnol.
En 1821, le Honduras proclama son indépendance et il fit partie, de 1821 à 1823, de l'empire mexicain d'Iturbide.
Ensuite, jusqu'en 1838, il fit partie des Provinces unies d'Amérique centrale.
En 1839, le Honduras devint un État souverain.
Le Salvador envahit brièvement le Honduras en juillet 1969 durant la guerre du football après qu'un match de football eut exacerbé les tensions entre les deux pays.
De 1972 à 1983, le Honduras fut gouverné par des
militaires. Carlos Roberto Flores Facussé en devint président le 27 janvier 1998.
GEOGRAPHIE
Entouré par la mer des Caraïbes, le Guatemala, le Nicaragua, le Salvador et l'Océan Pacifique, le Honduras occupe une superficie de 112 090 km2. Le Honduras dispose de 820 km de côtes.
Le Cerro Las Minas, haut de 2870 m, est le point culminant.
Parmi les ressources naturelles, on trouve l'or, l'argent, le cuivre, le plomb, le zinc, les minerais de fer, l'antimoine et le charbon.
Grâce à ses accès à la mer, le Honduras possède une importante activité de pêche.
Le pays est sujet aux tremblements de terre, inondations et ouragans.
A la limite du bassin caraïbe, au large des côtes du Honduras, les îles de la Baie (Utila, Roatán et Guanaja) sont peuplées de descendants de pirates anglais.
Colonies britanniques, elles ont été cédées au Honduras en 1859, sans que leurs habitants aient été consultés.
Agglomérées les unes aux autres, des familles prospères de pêcheurs de crabes habitent sur les récifs de corail qui bordent les côtes de l'île de Guanaja.
Une manière pour eux de fuir les moustiques qui infestent l'île. Conséquence d'une isolation maintenue depuis des générations, des problèmes de consanguinité se posent parmi cette population.
Frontières terrestres
922 km avec le Nicaragua
342 km avec le Salvador
256 km avec le Guatemala

                                                        
           Les quelques villes qui existaient encore à la fin du Xème siècle ont été soumises par des envahisseurs , les Toltèques.    

TEGUCIGALPA
Tegucigalpa est la capitale, et la ville la plus importante du Honduras. Sa population est estimée en 1997 à 897 000 habitantset ses habitants sont appelés les Tegucigalpais.
La ville est située dans la vallée du même nom, à une altitude de 990 m.
Tegucigalpa est également la capitale du départementde Francisco Morazán.
Tegucigalpa fut fondée au XVIe siècle ; elle était alors une importante exploitation minière d'or et d'argent.
Les industries de la ville produisent aujourd'hui textile, sucre, et cigarettes.
Les villes de Tegucigalpa et Comayagua furent tour à tour la capitale de la république indépendante du Honduras, jusqu'en 1880, date à laquelle Tegucigalpa devint la capitale de façon permanente.
L'Université nationale autonome du Honduras y fut établie en 1847.
Le Musée national possède une importante collection de pièces datant de la période précolombienne. Dans les années 1930, la ville de Comayagüela, située sur l'autre rive de la rivière Choluteca, fut incorporée à Tegucigalpa.
Le cyclone tropical Mitch frappa la ville en 1998, lui causant d'importants dégâts.

                                                                                
                               Tegucigalpa est la capitale, et la ville la plus importante du Honduras, à une altitude de 990 m.

GUATEMALA
Au Guatemala, les principales populations traditionnelles Mayas vivent dans les haut-plateaux de l'Ouest.
Au Guatemala, le modèle colonial espagnol consistant à garder les indiens légalement séparés et inféodés persista durant le XXème siècle.
Il en résulte la conservation des coutumes traditionnelles, la seule alternative étant l'intégration du mode vie hispanique
au plus bas niveau social.
Une considérable identification avec les communautés locales et linguistiques, correspondant souvent aux États des nations
pré-colombiennes, continue, et beaucoup de gens portent des vêtements traditionnels qui affichent leur identité spécifique locale.
Les habits des femmes tendent à être plus traditionnels que ceux des hommes, ces derniers ayant plus d'interaction avec le commerce et la culture hispanique.
Les peuples Mayas des haut-plateaux du Guatemala incluent les Quichés, Mam, Poqomam, Cakchiquel, Ixil, Q'eqchi', Tz'utujil et Jakaltèques.
La région sud-est du Guatemala (à la frontière avec l'Honduras) comprend des groupes comme les Ch'orti'.

                                                                              
         A l'apogée, des cités importantes se détachent comme Tikal, Piedras Negras au Guatemala, ou encore Palenque et
         Chichén Itzá au Mexique.

PETEN
Le département du Petén (en espagnol : Departamento del Petén) est l'un des 22 départements du Guatemala.
C'est le département le plus au nord du pays et aussi le plus grand, comptant pour près d'un tiers du territoire guatémaltèque avec
une superficie de près de 33 566 km². Il partage une frontière avec le Mexique.
La capitale est Flores, située près de l'ancienne cité de Tikal. La population était, lors d'une estimation en 2000, d'environ 350 000 personnes.
HISTOIRE
Le Petén fut un foyer d'architecture rituelle de la civilisation maya autour de 500 avant notre ère. El Mirador est le site le plus important de l'ère maya préclassique; Civall en est un autre exemple.
Plus tard, le Petén devint un foyer de la civilisation maya classique (200-900).
Autour de 750, on estime la population du Petén à plusieurs millions de personnes, faisant de la région une des plus peupléesà l'époque.
Des estimations vont jusqu'à 1 000 personnes au km². L'agriculture était très extensive et on dispose d'indices montrant que la région fut ruinée par une gestion non durable des ressources.
La famine qui suivit fut un facteur important de l'effondrement des États mayas de la région. On évalue une diminution de population de 2/3 entre le milieu du neuvième siècle et le milieu du dixième siècle.
D'importantes traces de la civilisation maya classique subsistent à Tikal, Holmul, Machaquila, Naranjo, Nakum, Piedras Negras,
Ceibal, Uaxactun etYaxha.

                                                                          
                                                       D'importantes traces de la civilisation maya classique subsistent .

Après l'effondrement de la période classique, la population continua à baisser, surtout après l'introduction de la variole par les explorateurs européens. Cette maladie arriva autour de 1519-1520, quelques années avant l'arrivée des premiers européens.
Hernán Cortés dirigeait la première expédition à traverser le Petén en 1524-1525 et rapporta que la région était surtout composée de petits hameaux isolés par d'épaisses forêts. Tayasal était la seule grande ville.
Le Petén ne reçut plus de visite après l'expédition de Cortés jusqu'à ce qu' une expédition partie du Yucatán réussisse à conquérir Tayasal, le dernier État maya indépendant à la fin du dix-septième siècle.
La ville espagnole de Flores fut fondée sur le site de Tayasal, mais elle resta très isolée durant la période coloniale et après l'indépendance du Mexique et de l'Amérique centrale. Lorsque, dans les années 1840, le président du Guatemala Rafael
Carrera envoya une petite force militaire à Flores pour réclamer la souveraineté sur la région, le gouvernement du Mexique et du Yucatan décidèrent que la région ne valait pas la peine de contester.
Dans les années 1960, le gouvernement du Guatemala offrit des terres du Petén à tous les citoyens désireux de s'établir et de payer une redevance de $25.
Une route non pavée vers Flores fut tracée et le trajet de 500 km jusque Flores prenait jusque 24 heures.
Des petits aéroports furent construits à Flores et Tikal, amenant des touristes vers la région.
Au début des années 1970, une route fut construite entre Tikal et Belize.
La première rue pavée du Petén fut construite en 1982.
Depuis les années 1990, de nombreux colons sont venus s'installer dans la région, causant un important phénomène de déforestation.

ILE de PAQUES
île de Pâques (en espagnol Isla de Pascua, en langue maori Rapa Nui « la grande lointaine ») est une île isolée dans le sud-est de l’océan Pacifique, particulièrement connue pour ses statues monumentales (les moaïs) et son unique écriture océanienne, le rongorongo.
L’île se trouve à 3 700 km des côtes chiliennes et à 4 000 km de Tahiti, l’île habitée la plus proche étant Pitcairn à plus de 2 000 km à l’ouest.
Coordonnées : 27°09'S 109°27'W / -27.15, -109.45.
L’île de forme triangulaire, d'environ 23 km dans sa plus grande dimension, couvre 162 km².
La population comptait 3 304 habitants en 2002 [1]. Son chef-lieu est Hanga Roa.
Elle fut visitée par le premier Européen, le navigateur néerlandais Jakob Roggeveen, le jour de Pâques, le 5 avril 1722, et comptait alors près de 4 000 habitants.
Elle fut annexée par l’Espagne en 1770 et devint une possession chilienne en 1888.
Depuis 1995, le patrimoine exceptionnel de l’île est protégé et inscrit au Patrimoine mondial de l'Humanité par l'UNESCO.
Des parcs ou réserves naturelles, parfois surveillés, enserrent les zones des vestiges. La communauté rapanui veille jalousement sur les traces de son histoire et constitue un pouvoir parallèle au gouvernement officiel chilien.
Peuplement de l'Océanie
Il y a 5 000 ans (3 000 av. J.-C.), des habitants du littoral de la Chine du Sud, cultivateurs de millet et de riz, commencent à traverser le détroit pour s’installer à Taïwan.
Vers 2 000 av. J.-C., des migrations ont lieu de Taïwan vers les Philippines.
De nouvelles migrations commencent bientôt des Philippines vers Célèbes et Timor et de là, les autres îles de l’archipel indonésien.
Vers 1 500 av. J.-C., un autre mouvement mène des Philippines en Nouvelle-Guinée et au-delà, vers les îles du Pacifique, occupées dans les années 600 à 800 ap. J.C. Les Austronésiens seraient les premiers navigateurs de l'histoire de l’humanité.
Découverte
On pense que l’île a été découverte par des Polynésiens dans les années 900.
Les Polynésiens, sur de pirogues à balancier ou bien sur des catamarans offrant plus de charge utile, seraient partis des îles Marquises (situées à plus de 3200 km) ou bien des iles plus proches des Tuamotou (Mangareva, à 2600 km) ou de Pitcairn (située à 2000 km).
Une reconstitution effectuée en 1999 à partir de Mangareva sur des embarcations polynésiennes à demandé 17 jours de navigation.
Les premiers moaïs ressemblent beaucoup aux tikis que l’on peut voir dans les îles de Polynésie (Hiva Hoa des Marquises, Tahiti…).
Des mesures au radiocarbone effectués dans les années 1950 avaient estimé la date du peuplement de l’île vers 400 +/- 80 ans.
De nouvelles études ont mis en évidence des pollutions sur les mesures effectuées impliquant un âge plus récent.
Les dernières mesures en 2006 de radiocarbone ont daté des implantations beaucoup plus tardives, vers 1200, dans un secteur
autre que le littoral.

                                                       
   Les moaïs, localement moai, sont les statues monumentales en basalte de l’île de Pâques , Leur taille varie de 2,5 à 9 mètres

Rapa Nui et les Pascuans
Les premiers migrants avaient réussi à construire, à partir de ressources assez limitées, une société technologiquement avancée.
Ils avaient dressé des centaines de statues.
Les importantes ressources en arbres dont ils disposaient le long de la côte furent épuisées en quelques siècles.
Dès les années 1500 à 1600, l’île aurait perdu la majeure partie de sa végétation; l'agriculture souffrant alors de l'érosion des sols.
Les habitants subirent des luttes tribales et à partir de cette époque la construction des statues et des plateformes cérémonielles diminue considérablement.
Puis les maladies apportées par des nouveaux venus (européens) et les déportations (l'esclavage pratiqué par les blancs) réduisirent encore la population.
Société de clans
À l'époque de la découverte par Jakob Roggeveen, neuf vai'hu (clans familiaux) se partageaient l'île : Aka'hanga, Anakena, Heiki'i, Mahetua, Taha'i, Tepe'u, Tongariki, Va'i Mata et Vinapu. Leurs territoires se rencontraient au centre de l'île, en un lieu (sacré, et réservé aux palabres) appelé Te pito o te fenua (« le nombril de la terre » souvent traduit à tort
comme "le nombril du monde").
Les ahu (plate-formes à moaï) étaient aussi appelés Mat'a kite u'rani (les yeux qui regardent le ciel ou du ciel, ce qui est logique pour des représentations d'ancêtres divinisés, mais a été interprété par les européens de manière parfois très fantaisiste).
Moaîs
Les statues proviennent de la carrière de Rano Raraku, située sur les flancs et dans le cratère d’un volcan.
On peut y voir un très grand nombre de moaïs (près de 400).
Certains sont terminés et dressés au pied de la pente et d’autres non terminés, de l’ébauche à la finition. 
Le plus grand qui ait été érigé fait 10 m de haut et pèse 75 tonnes; un des derniers resté inachevé fait 21 m de hauteur pour une masse estimée de 270 tonnes.
L’île de Pâques est surtout connue pour le mystère, longtemps inexpliqué, qui entourait la fabrication, mais surtout le transport, de blocs de basalte allant de 2,5 à 10 m de haut et l’élévation des moaïs.
Un mystère qui ne fut éclairci que lorsque l'on comprit que l'île avait été boisée, et après que des reconstitutions des méthodes probablement employées eurent été faites sur le terrain.
Rongorongo
D'autres interrogations portaient sur la découverte des plaquettes de bois couvertes de signes (les plaquettes Rongo-Rongo) qui restent en partie indéchiffrables malgré la traduction partielle de Steven Fischer, contestée par les linguistes spécialisés dans la langue austronésienne (qui voient des groupes verbaux, nominaux ou des phrases là où lui trouve des symboles conceptuels). Bien que toute la Polynésie soit jalonnée d'écritures, ces plaquettes ajoutent au mystère de l’île de Pâques car elles sont uniques en leur genre (la culture polynésienne étant considérée comme de tradition orale).
Les premières civilisations pascuanes ont laissé des tablettes et des sculptures en bois, des pétroglyphes dont la signification précise n’est pas encore déchiffrée, mais dont les répétitions de symboles (par exemple : oiseau-pénis-poisson-vulve-humain) ont été rapprochées[6] des refrains traditionnels des hymnes généalogiques polynésiens (« les oiseaux ont copulé avec les poissons et ainsi ont été engendrés les premiers hommes »).
L’origine des différentes vagues de peuplement est controversée (il semblerait qu'ils soient d'origine polynésienne) mais il est acquis que la langue maori est austronésienne, avec toutefois des mots communs aux langues d'Amérique du Sud (par exemple « kumara », la patate que les pascuans ont été cherché sur le continent).

                                                         
            Dans leur état final d’origine, les moaïs du peuple ( Rapanui ) avaient des yeux blancs fait de coraux et l’iris rouge 

Explorations
Le premier Européen à avoir aperçu ces îles, fut en 1687, le « pirate » Edward Davis à bord de son navire le Bachelor’s Delight alors qu’il voulait contourner les îles Galápagos au large du cap Horn. Il aperçut l’île plutôt par hasard et crut avoir trouvé le légendaire continent du Sud.
Cependant, aucun débarquement ne suivit sa découverte.
Son nom actuel vient du Hollandais Jakob Roggeveen qui y accosta, parti en expédition avec trois navires sur ordre de la Société commerciale des Indes occidentales.
Il la découvrit le dimanche de Pâques 1722.
Il l’appela Paasch-Eyland (île de Pâques). Le Mecklenbourgeois Carl Friedrich Behrens participait à l’expédition et son rapport publié à Leipzig orienta l’attention de l’Europe vers cette région du Pacifique à peine connue.
L’explorateur suivant fut l’Espagnol Felipe González de Haedo qui avait reçu du vice-roi du Pérou l’ordre d’annexer l’île
Roggeveens pour le compte de la couronne espagnole.
L'expédition de González de Haedo débarqua le 15 novembre 1770. Après une visite rapide et très partielle de l'île, exploration d'une demi-journée dans un seul secteur, après un contact amical avec une population à structure sociale hiérarchisée, Felipe González de Haedo décide d'annexer cette terre (il ne pense pas qu'il s'agit de l'Île de Roggeveen) à la couronne d'Espagne et la nomme Île de San Carlos.
Il fit planter plusieurs croix sur la pointe du Poike.
Durant les années qui suivirent, l’Espagne ne se soucia que très peu de sa nouvelle possession. Preuve fut faite en cartographie qu'il s'agissait bien de la découverte du Hollandais Roggeveen, donc cette terre lointaine ne pouvait
appartenir à l'Espagne.
Au cours de sa deuxième expédition du Pacifique Sud, James Cook a visité du 13 mars 1774 au 17 mars 1774 l’île de Pâques.
Il n’a pas été enthousiasmé par l’île et a écrit dans son livre de bord : « Aucune nation ne combattra jamais pour l’honneur d’avoir exploré l’Île de Pâques, […] il n'y a pas d'autre île dans la mer qui offre moins de rafraîchissements et de commodités pour la navigation que celle-ci. »[7] Cependant, son séjour a apporté des constatations essentielles sur la constitution géologique, la végétation, la population et les statues — qui avaient déjà été renversées dans leur majorité.
Nous devons de posséder des images témoins de cette époque au naturaliste allemand Johann Reinhold Forster et son fils
Johann Georg Adam Forster qui participaient à l’expédition Cook.
Reinhold Forster a dessiné les premiers croquis des statues (moaïs) qui, gravés et publiés dans un style alors typiquement romantique, firent sensation dans les salons.
En 1786, débarqua sur l’île de Pâques le comte français Jean-François Galaup de La Pérouse lors de sa circumnavigation terrestre effectuée sur l’ordre du roi Louis XVI.
La Pérouse avait l’ordre de dessiner des cartes précises afin de contribuer, avec l’étude des peuples du Pacifique à laformation du dauphin.
Les maladies introduites par des explorateurs européens comme la tuberculose et la syphilis ont provoqué une diminution constante de la population.
Un chapitre particulièrement sombre est écrit à ce sujet par un marchand d’esclaves péruvien qui fit armer plusieurs navires en 1862 et kidnappa, lors de plusieurs raids, environ 1500 insulaires pour les envoyer travailler aux îles Guano.
Tout cela, ajouté à des épidémies constantes à partir de 1864 provoqua une forte diminution de population dont le nombre était tombé à seulement 111 personnes en 1877.
En 1882, la canonnière allemande S.M.S. Hyäne (la Hyène) visita durant cinq jours l’île de Pâques au cours d’une expédition
dans le Pacifique.
Le capitaine-lieutenant Geiseler avait l’ordre de l’amirauté impériale d’entreprendre des études scientifiques pour le département ethnologique des musées royaux prussiens à Berlin.
L’expédition a fourni entre autres les descriptions très détaillées des us et coutumes, de la langue et de l’écriture de l’île de Pâques ainsi que des dessins exacts de différents objets culturels, des statues (moaïs), des croquis de maison et un plan détaillé du lieu de culte Orongo.
Le médecin de navire William Thomson a pris les premières photos de statues (moaïs) en 1886 alors qu’il visitait l’île à bord du navire américain Mohi. e

NAZCA
Découverts en 1926 au Pérou, les géoglyphes de Nazca sont de grandes figures tracées sur le sol, souvent figuratives, parfois longues de plusieurs kilomètres qui se trouvent dans le désert.
Le sol sur lequel ils se dessinent est couvert de cailloux que l'oxyde de fer a colorés en gris. En les ôtant, les Nazcas ont fait apparaître un sol gypseux plus clair, découpant les contours de leurs images.
Ces géoglyphes sont le fait de la civilisation Nazca, une culture pré-incaïque du Sud du Pérou qui se développa entre 300 av.
J.-C. et 800 de notre ère.

                                                                                
                                                           Le symbole du trident du dieu Viracocha, seigneur de Tiahuanacu

Les lignes et géoglyphes de Nazca et de Pampas de Jumana sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1994.
Des expériences d'archéologie expérimentale ont prouvé que la réalisation de géoglyphes à l'aide d'outils rudimentaires, comme des piquets et des cordes, afin de reproduire une version agrandie d'un dessin préalable, ne posait aucun problème particulier, et était sans aucun doute à la portée d'un peuple de bâtisseurs comme les Nazcas.
À partir de maquettes, les Nazcas réalisaient les ouvrages à grande échelle probablement à l'aide de procédés géométriques simples, tel le carroyage.
On a retrouvé diverses poteries reprenant les mêmes motifs.
Elles prennent la forme de singes, d'oiseaux-mouches et de condors où pullulent spirales et ellipses. Imprimés sur la surface de la Pampa, les dessins franchissent les ravins, escaladent les collines sans que leur forme ni la rectitude apparente des lignes en soient affectées.
Ces tracés représentent les divinités animales du panthéon religieux des Nazcas.
Le microclimat permet la conservation des lignes, car :
le plateau est l'une des régions les plus sèches du monde (trente millimètres de pluie par an) ; le sol sans végétation réchauffe fortement l'air (ce qui crée un coussin d'air qui, à son tour, protège les géoglyphes du vent) ; enfin le gypse contenu dans le sol « colle » le sable et la poussière.
Sans sable, ni poussières pour recouvrir la plaine et avec peu de pluie ou de vent pour les éroder, les tracés restent intacts.
On a déjà dénombré plus de 350 dessins distincts.

                                                    
             Découverts en 1926 au Pérou, les géoglyphes de Nazca sont de grandes figures tracées sur le sol, souvent figuratives.

Théories archéologiques

Calendrier astronomique
D'après la mathématicienne allemande Maria Reiche, qui a consacré la majeure partie de sa vie à l'étude archéologique et à la préservation du site, les géoglyphes formeraient un immense calendrier astronomique, dont les lignes pointent vers des étoiles remarquables ou des constellations.
Cette théorie a été infirmée en 1968 par l'astrophysicien américain Gerald Hawkins, d'après les recherches qu'il réalisa ense fondant sur des calculs informatiques.
En reconstituant la carte du ciel telle qu'elle était à l'époque des Nazca, il démontre que 80% des géoglyphes n'ont aucune relation avec les constellations importantes, cependant ses recherches furent démolies à cause d'une erreur de méthodologie grave.
Il avait reconstitué la carte du ciel en se fondant sur celle de Stonehenge qui n'est pas dans le même hémisphère.

Un site rituel
Des archéologues ont réalisé des répliques à l'identique des figures de Nazca à l'aide de leurs étudiants dans un temps relativement court.
De nos jours, les communautés nazca effectuent une procession sur le parcours que forment certaines des figures.
Ce rite peut être récent, et il n'y pas de preuve qu'il ait toujours été pratiqué.
Les figures ont également été associées au chamanisme.
La plupart de ces figures se trouvent près de sites préhistoriques d’art rupestre qui présentent des images similaires, mais à une plus petite échelle.
Les chamans prenaient des substances hallucinogènes qui leur permettaient de voir leur animal-pouvoir, une pratique courante en Amérique du Sud et particulièrement en Amazonie.
Certaines des drogues utilisées pendant les cérémonies rituelles donnent la sensation de voler dans les airs ; ce serait la raison pour laquelle les géoglyphes sont créés pour être vus du ciel.
Encore plus simplement, ces dessins seraient destinés à des dieux habitant les cieux.
Cette théorie est accréditée par le fait que les motifs animaux sont les mêmes que ceux qu'on trouve dans le panthéon nazca, par exemple sur les céramiques.
La plupart des figures sont constituées d'une seule ligne ne se recoupant jamais.

                                                   
                        Ces géoglyphes sont le fait de la civilisation Nazca, une culture pré-incaïque du Sud du Pérou

Théorie radiesthésiste
Les Nazcas avaient fortement développé l’irrigation pour pallier le manque d’eau chronique dans cette région aride en construisant des puits profonds de plusieurs mètres reliés par un réseau d’aqueducs souterrains.
Les figures et lignes serviraient de repères pour retrouver les résurgences et sources alimentant ce réseau.

Théorie ufologique
Dans Chariots of the Gods, Erich von Däniken a proposé en 1968 une théorie ufologique. Les figures de Nazca seraient soitune piste d'atterrissage pour les vaisseaux spatiaux extraterrestres, soit un message réalisé par la population locale qui leur serait destiné.
Elle fait partie de la théorie des Anciens Astronautes.

Théorie électrosismique
Selon une théorie, des conducteurs sous forme de fines feuilles de cuivre ou d'or auraient été étendus sur le terrain.
Ces conducteurs auraient pu être utilisés comme des antennes pour écouter les ondes très basses fréquences produites par les séismes.
Cette hypothèse s'appuie sur une théorie encore controversée nommée « SES » (pour Seismic Electric Signals).
Les traces de Nazca aujourd'hui observées seraient en fait la marque de l'emplacement où auraient été déposés ces conducteurs,mais aussi des nombreux tests qui auraient été effectués afin de trouver des positions adéquates, dans l'axe des champs électromagnétiques.
Cela pourrait signifier que ce site servait à protéger la vie en tant qu'oracle permettant de communiquer avec les dieux de la montagne. Un tel culte semble en effet avoir été identifié : Johan Reinhard, qui avait détaillé diverses traditions antiques, avait une théorie selon laquelle les dieux de la montagne prenaient la forme d'aigles ou de condors, figures présentes sur le site.
D'où un double intérêt, à la fois protecteur mais aussi probablement magique et rituel.


AMAZONIE  Péruvienne
Elle est constituée des départements suivants : Loreto, Madre de Dios, San Martín, Amazonas et Ucayali
AMAZONIE Bolivienne
Correspond aux départements de Pando, Beni, Santa Cruz, une partie de celui de La Paz, de Cochabamba et de Tarija

MACHU PICHU
Le Machu Picchu (du quechua machu, vieille et picchu, montagne) est une ancienne llaqta (cité) inca du XVe siècle, perchée sur un promontoire rocheux qui unit les monts Machu Picchu et Huayna Picchu sur le versant oriental des Andes centrales.
Son nom aurait été Picchu ou Picho.
Selon des documents du XVIe siècle, Machu Picchu aurait été une des résidences de l’empereur Pachacutec.
Cependant, quelques-unes des plus grandes constructions et le caractère cérémonial de la principale voie d’accès au llaqta démontreraient que le lieu fut utilisé comme un sanctuaire religieux.
Les deux usages ne s’excluent pas forcément.
Par contre, les experts ont écarté l’idée d’un ouvrage militaire.
La ville sacrée Machu Picchu, oubliée pendant des siècles, est considérée comme une œuvre maîtresse de l’architecture inca.
Elle fut dévoilée au monde par l’archéologue américain Hiram Bingham de l’Université Yale, qui écrivit un ouvrage de référence
à ce sujet.

                                                   
                Le Machu Picchu (du quechua machu, vieille et picchu, montagne) est une ancienne llaqta  cité Inca ( PEROU )

Ses caractéristiques architecturales et le voile de mystère que la littérature a tissé sur le site en ont fait une des destinations touristiques les plus prisées de la planète. Depuis 1983, le site est sur la liste du Patrimoine de l’Humanité
de l’UNESCO. Le 7 juillet 2007, l’endroit a été désigné comme l’une des sept nouvelles merveilles du monde par la NewOpenWor
ld Foundation, un organisme non officiel et à caractère commercial.
Enfin le site fait partie de tout un ensemble culturel
et écologique connu sous le nom de Sanctuaire Historique de Machu Picchu.
Le site se trouve à l'est de la Cordillère des Andes, aux débuts de la forêt amazonienne.
Il est situé au Pérou (province d'Urubamba), à cent trente kilomètres de Cuzco.
Les ruines sont à cheval entre deux élévations de terrain, à 2 438 mètres d'altitude.
L'une est le Huayna Picchu, signifiant jeune montagne.

                                                                                                      
     La ville sacrée Machu Picchu, oubliée pendant des siècles, est considérée comme une œuvre maîtresse de l’architecture inca.

C'est cette montagne qui surplombe le site sur la plupart des images de la cité.
Selon certains angles de vue, il est possible d'y déceler la forme d'un visage humain regardant vers le ciel, le sommet duHuayna Picchu étant le nez.
L'autre montagne est le Machu Picchu, signifiant vieille montagne.
C'est cette montagne, à l'opposé du Huayna Picchu, qui a donné son nom au site archéologique.
Autour du Huayna Picchu et sur les deux côtés de la cité coule la rivière Vilcanota-Urubamba qui décrit un grand arc encontrebas d'une falaise de 600 mètres.
Les 172 constructions s'étendent approximativement sur 530 mètres de long sur 200 mètres de large.
Elles font partie d'un territoire du Sistema Nacional De Areas Naturales Protegidas (SINANPE) appelé Sanctuaire Historique de Machu Picchu qui s'étend sur 32 592 hectares.
Le but est de protéger certaines espèces biologiques menacées d'extinction et des sites incas parmi lesquels Machu Picchu est le plus important.

                                                    
            172 constructions s'étendent approximativement sur 530 mètres de long sur 200 mètres de large, à 2400 m d'altitude !

HISTOIRE
La région du Picchu, située à mi-chemin entre les Andes et la forêt amazonienne fut une région colonisée par des population issues des montagnes, des régions de Vilcabamba et de la vallée sacrée (Cusco).
Ces groupes étaient certainement à la recherche de nouvelles terres cultivables.
Les archéologues indiquent que l'agriculture se pratiquait déjà dans la région au VIIIe siècle avant Jésus-Christ.
Dans les années 900 de notre ère , on assiste à une explosion démographique de groupes liés à l'ethnie Tampu del Urubamba.
Il est possible que ces peuples aient fait partie de la fédération Ayarmaca, rivale, des premiers incas de Cusco. Cependant, l'emplacement spécifique de la ville ne présente aucune trace de constructions avant le XVe siècle.
Époque inca (1438-1534)
On pense aujourd'hui que la ville a été construite sous le règne de l’empereur Pachacutec peut-être en 1440.
L'emplacement de Machu-Picchu dut impressionner le monarque par ses particularités spécifiques à l'intérieur de l'airegéographique sacrée de Cusco.
Machu Picchu dut avoir une population variable comme la majorité des llactas incas : entre 300 et 1000 habitants appartenant
vraisemblablement à une élite.
Le travail agricole était effectué par des colons mitmaqkuna qui venaient de différents lieux de l'empire.
La ville ne peut justifier le mythe de la « cité perdue » , ou du « refuge secret des empereurs incas ».
Les vallées avoisinantes formaient une région densément peuplée et qui avait augmenté de façon spectaculaire sa production agricole à partir de l'occupation inca en 1440.
Les incas construisirent là de nombreux centres administratifs, les plus importants étant Patallacta et Quente, et des complexes agricoles avec des cultures en terrasse.
Machu Picchu dépendait de ces complexes pour son alimentation mais ceux-ci étaient insuffisants.
La communication entre les régions était rendue possible grâce au réseau formé par les huit chemins incas qui allaient à Machu Picchu.

                                    
              perchée sur un promontoire rocheux qui unit les monts Machu Picchu et Huayna Picchu sur le versant oriental des
              Andes centrales.

La petite cité se différenciait des populations voisines par la singulière qualité de ses grands édifices.
À la mort de Pachacutec, et selon les coutumes royales incas, Machu Picchu passa à son panaca, qui devait destiner les rentes produites au culte de la momie du défunt roi.
On présume que cette situation se serait poursuivie sous les règnes de Tupac Yupanqui (1470-1493) et Huayna Capac (1493-1529).
Machu Picchu dut perdre en partie son importance à cause du désintérêt des empereurs successifs et aussi à cause de l'ouverture d'un chemin plus sûr et plus large entre Ollantaytambo et Vilcabamba (Vallée de Amaybamba).

TIAHUANACO ( Tiwanaku )
La civilisation de Tiwanaku a pris naissance sur la rive sud du Lac Titicaca, aux environs du site archéologique de la Cité du Soleil de Tiahuanaco.
Son extension maximale est mal connue, mais les recherches archéologiques témoignent d'une expansion sur de vastes territoires en direction du sud et du sud-est du lac Titicaca.
Ces régions correspondent à l'actuel nord du Chili et à l'ouest de la Bolivie.

                                                                 
             La civilisation de Tiwanaku ( en aymara, ou Tiahuanaco, nom de la ville moderne en espagnol), est une civilisation
             pré-inca  qui a dominé la moitié sud des Andes centrales entre le Ve siècle et le XIe siècle.  ( Bolivie )

HISTOIRE
L'histoire de la civilisation de Tiwanaku peut être subdivisée en quatre époques :
Formative, du Xe siècle av. J.-C. au IIIe siècle.
Intermédiaire, du IIIe siècle au VIe siècle.
Classique , du VIe siècle à la fin du Xe siècle (la datation la plus tardive obtenue d'un monument de Tiwanaku au carbone 14 remonte à 950).
Tardive, du Xe siècle jusqu'au XVIe siècle (mais dans la majorité des études archéologiques on considère la civilisation de Tiwanaku comme disparue dès le XIIe siècle, voire à partir du XIe siècle).
Culture
La civilisation de Tiwanaku avait une grande maîtrise de la taille de la pierre et son architecture soignée préfigure celle des Incas.
Tiwanaku et Huari sont en fait deux sociétés indépendantes mais qui ont diffusé à peu près la même culture, la seconde ayant été influencée par la première.
La Cité du Soleil
Un des principaux sites archéologiques actuels de la civilisation de Tiwanaku est la Cité du Soleil, lieu de célébration du dieu créateur Kon Tici Viracocha, elle comporte de nombreux édifices à vocation cérémonielle dont le principal est le temple de Kalasasaya, une vaste enceinte close.
Les deux plus célèbres monuments environnants sont la pyramide à sept degrés d'Akapana et la fameuse Porte du Soleil,considérée par certaines recherches comme un repère astronomique du fait de son alignement avec le soleil, et par d'autres comme un observatoire.
Celle-ci peut apparaître comme une mini-réplique du temple de Kalasasaya, chacune de ses terrasses étant ornée de statues monolithiques sur ses bords.
Une autre thèse interprète le monticule comme une figuration des montagnes de la Cordillère des Andes.
Le sommet de la pyramide est occupé par des cases - dont l'usage reste inconnu - disposées autour d'une cour intérieure.
En contrebas de l’Akapana un contraste saisissant apparaît avec le temple semi-souterrain.
Celui-ci impressionne par son ingénieux système de canalisations traversant la pyramide pour faire jaillir de l'eau en haut de l'Akapana, qui se déversait ensuite d'un étage à l'autre, le spectacle devait se situer entre celui que dégage une rizière et celui d'une fontaine…
Cette magnifique cascade artificielle symbolise certainement des sources du Nevado Illimani.
Enfin des monolithes, comme ceux de Benett et de Ponce, que certains archéologues rapprochent des Moais de l'île de Pâques,
sont orientés à l'intérieur du site.
Mythe et réalité
Certaines recherches tendent à démontrer que la construction de la plus ancienne cité de cette civilisation remonterait à plus de 10 000 ans avant J.C. Ces analyses se basent notamment sur différentes constructions qui apparaissent comme des quais et qui se trouvent à une distance du lac qui ferait remonter leur construction à 15 000 ans avant J.C., à l’époque où
le lac longeait ces constructions.
Cette théorie serait « confirmée » par des dessins et gravures d'animaux dont l'espèce aurait disparu à la fin du pléistocène c'est-à-dire vers 12 000 ans avant JC.

Affaire de ROSWELL
L’affaire de Roswell (Roswell Incident) désigne le crash d'un objet non identifié aux États-Unis près de Roswell (Nouveau-Mexique) en juillet 1947.
Cet événement est considéré par certains ufologues et une partie des conspirationnistes comme la plus extraordinaire rencontre rapprochée avec des extraterrestres au XXe siècle et par d'autres comme un canular.
Deux courants de pensées s'affrontent concernant la nature réelle de cet incident : les sceptiques et le gouvernement des États-Unis d'un côté et les partisans de l'hypothèse extraterrestre de l'autre.
Le gouvernement explique l'incident par le crash d'un ballon-sonde top-secret Mogul tandis que les partisans de la thèse extra-terrestre soutiennent que l'épave retrouvée est celle d'un OVNI extra-terrestre, récupérée et dissimulée par les
militaires.
Les partisans de l'hypothèse extraterrestre (H.E.T.) expliquent en effet certaines manifestations d'OVNI par des visites extraterrestres
(la communauté scientifique parle de Phénomène aérospatial non identifié ou PAN).
L'incident a depuis évolué en phénomène de culture populaire hyper-médiatisé, Roswell devenant l'une des manifestations supposées extra-terrestres les plus célèbres.

                                                             
                   Rue de ROSWELL             Lieu du crash de l'OVNI             un OVNI  ( Roswell )             Alien du crash ( Roswell )

Les faits
Le 3 juillet 1947, William "Mac" Brazel, propriétaire d'un ranch près de Roswell, découvre des débris sur ses terres, et prévient la base militaire la plus proche.
Un jeune militaire du Roswell Army Air Field (RAAF) fait alors un premier communiqué de presse, où il annonce qu'ils ont découvert une soucoupe volante (« flying disc ») écrasée près d'un ranch à Roswell, déclenchant un fort intérêt de la part des médias.
L'« observation » originelle du phénomène OVNI, celle de Kenneth Arnold, ayant eu lieu un mois plus tôt et ayant eu un écho important dans la presse, les soucoupes volantes étaient dans l'esprit de tous, y compris des jeunes militaires.
Le lendemain, le commandement général de la base publie un rectificatif, annonçant que la soucoupe volante était seulement un ballon-sonde.
Une conférence de presse est organisée dans la foulée, exposant aux journalistes des débris provenant de l'objet crashé et confirmant la thèse du ballon. L'affaire tombe alors dans l'oubli pendant une trentaine d'années, même parmi les chercheurs d'OVNI.
Mais en 1978, le major Jesse Marcel, impliqué dans la récupération des débris de 1947, déclare à la télévision que ceux-ci étaient sûrement d'origine extraterrestre et que les débris que le général Ramey (responsable de la base) a montrés aux journalistes ne sont pas ceux que Marcel lui a apportés de Roswell. Il fit part de sa conviction selon laquelle les militaires avaient en réalité caché la découverte d'un vaisseau spatial à l'ufologue Stanton T. Friedman. Son histoire circula parmi les amateurs d'OVNI, figurant même dans des revues d'ufologie.
En février 1980, le National Enquirer conduisit sa propre interview du major Marcel, attirant l'attention mondialement sur
l'incident de Roswell.
D'autres témoins et rapports sortirent de l'ombre au fil du temps, ajoutant de nouveaux détails à l'histoire.
Par exemple,
une grande opération militaire se serait déroulée à l'époque, visant à retrouver des morceaux d'épave, ou encore des aliens, sur pas moins de onze sites[3], ou encore des témoignages d'intimidation sur des témoins.
En 1989, un entrepreneur de pompes funèbres à la retraite, Glenn Dennis, affirma que des autopsies d'extra-terrestres étaient conduites dans la base de Roswell.
En 1991, le général Du Bose, chef d'état-major du général Ramey en 1947, confirme que ce dernier a substitué aux débris transmis par la base de Roswell ceux d'un ballon météo, qu'il a montrés aux journalistes.
En réponse à ces nouveaux éléments, et après une enquête du Congrès des États-Unis, le Government Accountability Office
(organisation de surveillance appartenant au Congrès) demanda à l'Air Force de conduire une enquête interne.
Le résultat de cette enquête fut résumé en deux rapports.
Le premier, paru en 1995, conclut que les débris retrouvés en 1947 provenaient bien d'un programme gouvernemental secret appelé Projet Mogul.
Le second, paru en 1997, conclut que les témoignages concernant la récupération de cadavres extraterrestres provenaient vraisemblablement de rapports détournés d'accidents militaires impliquant des blessés et des morts, ou encore de la récupération de mannequins anthropomorphiques lors de programmes militaires tels que l'opération High Dive, menés autour des années 1950.
Ce rapport indique néanmoins que le débat sur ce qui est réellement tombé à Roswell continue et précise que tous les documents
administratifs de la base pour la période mars 1945-décembre 1949 ont été détruits, et tous les messages radio envoyés par la base d'octobre 1946 à février 1949 ont été détruits.
Le bordereau de destruction ne mentionne pas quand, par qui, et sur l'ordre de qui cette destruction a été effectuée.
Ces rapports ont été rejetés par les partisans de la théorie extraterrestre, qui parlent de désinformation, bien qu'un nombre significatif d'ufologues s'accordent cependant sur une diminution de la probabilité qu'un vaisseau alien soit en fait l'explication.
Pour beaucoup, l'énigme de Roswell reste entière.

Preuves matérielles de l'incident
L'historique suivant reconstruit le déroulement supposé des évènements liés à ce qui s'est passé à Roswell.
Il est construit à partir de journaux et de télex de l'époque.

Débris étranges dans un ranch
Le 14 juin, le fermier William “Mac” Brazel remarqua des débris bizarres alors qu'il travaillait dans un ranch à une centainede kilomètres de Roswell.
Cette date (« environ 3 semaines avant le 8 juillet ») reste controversée, mais est présente dans plusieurs témoignages de l'époque, en particulier les récits citant Brazel, et dans un télex envoyé quelques heures après la révélation de l'histoire,citant le shérif George Wilcox (le premier prévenu par Brazel).
Cependant, le rapport initial de la base de l'armée de l'air de Roswell raconte que la découverte eut lieu « au cours de la semaine précédente », suggérant que Brazel avait découvert les débris au début du mois de juillet.
Brazel raconta au Roswell Daily Record que son fils et lui avaient vu « une large zone de débris brillants, bandes de caoutchouc, feuilles d'étain, un papier plutôt dur et des barres ».
Il préta peu attention à tout cela, mais retourna sur les lieux le 4 juillet avec sa femme, son fils et sa fille pour récupérer des débris.
D'autres témoignages rapportent que Brazel aurait collecté de débris plus tôt, les mettant en tas et les cachant sous des broussailles.
Le jour suivant, Brazel entendit des témoignages sur les soucoupes volantes, et se demanda s'ils étaient lié avec ce qu'il avait trouvé.
Le 7 juillet, Brazel confia au shérif Wilcox qu'il croyait avoir trouvé une soucoupe volante.
Une autre source cite Wilcox disant que Brazel avait signalé l'objet le 6 juillet.
Wilcox appela ensuite le major Jesse Marcel de la base de l'armée de l'air de Roswell et un homme en civil vint au ranch chercher les débris que Brazel avait ramassés. « Nous avons passé quelques heures le 7 juillet à chercher des morceaux de l'engin météo », déclara Marcel. « Nous avons trouvé d'autres bouts de caoutchouc et d'aluminium » .
Ils essayèrent ensuite de ré-assembler l'objet mais Brazel dit qu'ils n'y étaient pas arrivés. Marcel apporta les débris à la base le lendemain matin.
Comme décrit dans l'édition du Roswell Daily Record du 9 juillet 1947 :
Le ballon qui faisait voler l'appareil, si c'est ainsi que cela fonctionnait, devait mesurer 4 mètres de long, déclara Brazel, évaluant la distance par la taille de la pièce où il était assis.
Le caoutchouc était gris clair et était éparpillé sur une zone de 200 mètres de diamètre.
En rassemblant les débris, les feuilles d'aluminium, le papier, les bandes et les barres formaient un paquet d'un mètre de long et de 20 centimètres d'épaisseur, et le caoutchouc un tas de 50 centimètres de long et de 20 d'épaisseur.
En tout, estima-t-il, l'ensemble devait peser environ 2 à 3 kilos. Il n'y avait aucun signe de métal dans la zone qui aurait pu provenir d'un moteur, ni aucune trace de propulseur, bien qu'au moins l'un des ailerons de papier ait été collé sur un bout d'étain.
Il n'y avait aucune inscription sur l'instrument, bien qu'il y ait des lettres sur certaines parties. Une longueur considérable de ruban adhésif, et du ruban avec des fleurs imprimées dessus, avaient été utilisés dans la construction.
Ni corde, ni fil n'était visible, mais il y avait des oeillets dans le papier qui indiquaient que quelque chose pouvait y avoir été attaché. »
Un télex envoyé au bureau du FBI de Dallas, citait un major de l'Eighth Air Force le 8 juillet :
« Le disque est hexagonal et était suspendu à un ballon par un câble, ballon de 6 mètres de diamètre environ.
Il a été dit au major Curtan que l'objet trouvé ressemblait à un ballon météo à haute altitude équipé d'un réflecteur radar, mais cette
conversation téléphonique entre leur bureau et la base de Wright Field n'a pas confirmé cette affirmation. »

COLORADO
Le Colorado est un État du centre des États-Unis, d'une superficie de 270 000 km², peuplé de 4 301 261 habitants (2000).
Il est bordé au nord par le Wyoming; au nord-est par le Nebraska ; à l'est par le Kansas ; au sud par l'Oklahoma et le Nouveau-Mexique ; et à l'ouest par l'Utah.
La capitale du Colorado est Denver, dont l'agglomération concentre la moitié des habitants de l'État.
Le Colorado est le seul État américain qui se trouve entièrement au-dessus de 1 000 mètres. Son point plus bas est 1 010 m, dans le fleuve Arikaree.

Relief
L'organisation du relief d'est en ouest :
Les Grandes Plaines (Colorado Eastern Plains), entre 1 000 et 2 000 mètres d'altitude
Montagnes Rocheuses :
Front Range
Continental Divide
Western Slope
San Juan Mountains au sud-ouest de l'état
Plateau du Colorado
Bassin aride

Principaux sommets
L'État du Colorado compte 52 sommets de plus de 4 270 mètres (appelés les 14ers en référence aux sommets de plus 14 000 pieds):
Mont Elbert, 4401 mètres
Mont Harvard, 4395 mètres
Mont Massive, 4395 mètres
Pic Blanca, 4386 mètres
Pic Uncompahgre, 4360 mètres
Mount Evans, 4347 mètres
Pic Longs, 4345 mètres
Pic Pikes, 4301 mètres
Spanish Peaks

                                                   
       Le Colorado est un État du centre des États-Unis,et situé au contact des montagnes Rocheuses et des Grandes Plaines.

Principaux cours d'eau
Le fleuve Colorado
Río Grande
Arkansas, affluent du Mississippi
South Platte et North Platte, branches de la Platte, affluent du Mississippi
Exploration [modifier]
À la fin du XVIe siècle, les Espagnols lancent à partir de la Nouvelle-Espagne (Mexique) des expéditions vers le territoire actuel du Colorado.
Juan de Humana, Francisco Leiva Bonilla, Juan de Zaldivar, Don Juan de Onate et Juan de Archuleta explorent la région.
Au début du XVIIe siècle, Juan de Ulibarri et Pedro de Villasu traversent l'état.
Après la vente de la Louisiane par la France, la moitié orientale du Colorado devient américaine. Il faut attendre la défaitedu Mexique en 1848 pour voir le reste de l'État passer sous influence américaine.
Alors que Lewis et Clark ont reconnu le nord des Montagnes Rocheuses, leur partie méridionale est explorée par le capitaine américain Zebulon Pike au début du XIXe siècle.
Mais il faut attendre les années 1850 pour que les premiers établissements permanents deviennent significatifs.

Tribus amérindiennes
Apaches dans les plaines orientales du Colorado au XVIIIe siècle. Ils laissèrent ensuite la place aux Arapahos et aux Cheyennes.
Arapaho s'installèrent à la fin du XIXe siècle dans le Colorado.
Ils furent chassés après la guerre du Colorado en 1865.
Cheyennes qui furent contraints de partir dans les années 1860.
Shoshones ont occupé les vallées du nord (Yampa River par exemple).
Utes installés depuis longtemps dans le Colorado. Ils combattirent à plusieurs reprises les Arapahos et les Cheyennes.
Après les guerres contre les chercheurs d'or et d'argent, ils partirent pour l'Utah ; certains furent maintenus dans les réserves du sud-ouest de l'état.

Source
WIKIPEDIA : L'encyclopédie libre .
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