Aux environs d'Arbois ( Jura-Doubs )
Salins-les-Bains
Vue général de Salins les Bains dans la vallée de la Furieuse Fort Belin la Saline |
Salins-les-Bains
est une commune française, située dans la vallée de la Furieuse, dans le département
du Jura et la région Franche-Comté.
Les salines de la ville, première destination touristique payante du département,
sont inscrites sur la liste indicative du patrimoine mondial de l'UNESCO.
Salins-les-Bains est une ville située au cœur de la vallée de la rivière
Furieuse (affluent de la Loue). Il s'agit de la seule vallée ouverte de
Franche-Comté. Celle-ci est dominée par deux ensembles fortifiés, le fort
Saint-André et le fort Belin. Associée à Arbois et Poligny, elle forme le
triangle d'or.
Casino Eglise Saint Maurice Tournesols et église Montigny les Arsures |
Ville d'eau, son économie a été basée pendant plusieurs siècles sur
l'exploitation du sel.Les premières traces d'extraction sont datées du Ve siècle.
La ville gagne une très grande importance dès l'Antiquité. Elle est site
princier et un des plus grands centres religieux[réf. nécessaire] de Gaule
sous les Celtes, puis oppidum sous les Romains. D'aucun prétendent d'ailleurs
que c'est à Salins que s'est tenue la bataille d'Alésia, qui mis fin à la
Guerre des Gaules. Cette hypothèse n'a pas été validée par les recherches
récentes.
Au Moyen Âge, le sel contribue à faire de la ville la seconde cité de
Franche-Comté avec 8000 habitants. Elle comprend alors 17 chapitres religieux,
plus de 25 tours d'enceinte et fait figure de grand centre culturel, notamment
du livre. Deux salines existent en 1115, la petite saline avec le puits à
Muire, et la grande saline, dite grande saunerie, avec le puits d'Amont.
Château Vignes de Vauxelle Vieilles demeures Montigny les Arsures |
Le déclin de
Salins se fera en plusieurs étapes et au travers d’une suite d’événements
malheureux. Tout d’abord, la ville ne sera pas choisie à la Révolution comme
chef-lieu du département du Jura. Puis c'est un terrible incendie qui la frappe
en 1825 qui voit une partie de la grande saline détruite. Sous le Second
Empire, celle-ci connaîtra un certain renouveau, puisqu'on cherchera à faire
d'elle une élégante station thermale sous l’impulsion d’un homme
d’affaires, Grimaldi, qui a racheté la concession royale d’exploitation des
salines en 1843. La station thermale sera construite en 1854 sur l'emplacement
de la petite saline. En 1926, la cité adoptera ainsi le nom de «
Salins-les-Bains ». Mais cette nouvelle vocation ne parviendra guère à atténuer
le coup final asséné par la fermeture des salines en 1962, qui sera de plus
suivie peu après par celle des faïenceries, en 1995.
Arc-et-Senans
Arc-et-Senans est une commune française, située dans le département du Doubs
et la région Franche-Comté. Elle abrite la saline royale d'Arc-et-Senans
inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1982.
Arc-et-Senans est une commune française, située dans le département du Doubs et la région Franche-Comté |
Géographie
Arc-et-Senans est un gros bourg du Doubs peuplé de 1428 habitants (chiffre
INSEE 2006). Il se situe entre la rivière la Loue et la forêt de Chaux à 250
mètres d'altitude. Le village est assez étendu et est composé de plusieurs
hameaux : Arc, Senans et le Vernois ne font pour ainsi dire qu'une seule
agglomeration. Les hameaux du Deffois, du moulin Toussaint, de Roche sur Loue
sont séparés. La particularité du Moulin Toussaint est qu'il faut passer par
la commune voisine de Cramans sise dans le département du Jura pour y accéder.
En effet, Il n'y a pas de pont pour desservir directement ce lieu dit. La vie économique
d'Arc-et-Senans est largement tournée vers le tourisme. La Saline royale attire
150 000 visiteurs par an (année 2000). En outre, une petite industrie s'y est développée,
tournée principalement vers le bois et dans une moindre mesure la plasturgie.
Ajoutons pour finir que la place de l'agriculture n'est pas à négliger : il y
a encore près d'une dizaine d'exploitations. Traditionnellement, elle est tournée
vers l'élevage de bovins laitiers et la culture céréalière.
Des traces d'occupations remontant à l'époque romaine ont été retrouvées,
notamment au lieu dit Le Cretot. Des ossements ainsi que des bris de tuiles et
de briques sont visibles dans le sol lors de terrassement. L'abbé Letondal,
dans son livre "Arc et Senans à travers les âges" édité en 1927,
relate assez complètement l'histoire communale.
Elle abrite la saline royale d'Arc-et-Senans inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1982. |
Il y a d'abord l'église Saint-Bénigne. Construite au XIXe siècle dans le
style classique, elle abrite plusieurs tableaux admirables. Notamment dix
peintures du XVIIe siècle, classées aux monuments historiques. Le clocher a été
reconstruit à l'identique en 1921, suite à un incendie du à un orage. L'église
possède deux orgues.
On y trouve aussi deux châteaux, le Château de Roche-sur-Loue et celui d'Arc.
Le château de Roche est le plus important.
A l'origine il s'agit d'un château fort verrouillant un nœud de communication
et un gué sur la Loue. En 1756, il est entièrement reconstruit par le marquis
de Grammont qui entend en faire une résidence.
C'est le château issu de ces travaux que l'on peut voir aujourd'hui. Le corps
du bâtiment est flanqué de deux tours carrées au toit à l'impériale.
En 1864, Amédée Caron le transforme une nouvelle fois et implante une activité
industrielle dans le domaine. Le château est une propriété privée, il ne se
visite pas. Il est classé monument historique depuis 1974.
Le château d'Arc est plus récent. Il a été construit par M. Chaudois en
1751. Le bâtiment est entouré d'un grand parc de trois hectares protégé par
un mur d'enceinte. Il est classé monument historique depuis 1984. Voir une
photo du château sur le site du ministère de la Culture. Il existait à Arc un
troisième château fort, le Châtel-Rouillaud, mais il a brûlé en 1638.
Aujourd'hui, il n'en subsiste que la motte sur laquelle il était bâti.
La Saline royale attire 150 000 visiteurs par an (année 2000) Moulin sur la Loue près de Champagne |
La chapelle de la Grotte des Essarts a été construite après l'épidémie de
Choléra de 1854. L'abbé Coutteret avait fait le voeu d'édifier ce monument,
si la Vierge Marie protegeait la paroisse. C'est un édifice en pierre de taille
situé sur un promontoire naturel, dominant le village et la saline royale. Une
procession est organisée chaque 15 aout. En 2006, la procession s'est effectuée
de nuit à l'aide de flambeaux, la chapelle étant illuminée pour l'occasion,
grâce à un groupe electrogène. La commune a rénové cette chapelle par le
biais d'une souscription.
Mais le monument le plus important de la commune, est la Saline royale
d'Arc-et-Senans
Nans-sous-Sainte-Anne
Sur le territoire de la commune subsiste quelques vestiges du château de
Montrichard.
Bâti au XIIIe siècle pour surveiller le chemin médiéval qui descendait de
Montmahoux, il fut totalement ruiné par les troupes de Louis XI vers 1479.
Il abrita au XIVe siècle un atelier de fausse monnaie ducale. François RIZZON
Nans sous Sainte-Anne Creux billard Crue grotte Sarazzine Résurgence du Lison |
Situé dans une reculée jurassienne caractéristique, on y trouve la résurgence
d'un des réseaux spéléologique les plus vastes de France, le Verneau
souterrain dont plusieurs accès se trouvent sur la commune de Déservillers, à
7 kilomètres de là.
Depuis 2002, Nans-sous-Sainte-Anne est équipé d'une Via ferrata, "les
Baumes du Verneau".
Un ruisseau, le Verneau traverse le village et se jette dans le Lison, lui même
un affluent de la Loue. Les sources des deux rivières précitées offrent un
grand attrait touristique.
Enfin, une taillanderie (Forge fabriquant des outils de coupe tels des faux)
datant du XIXe siècle, en parfait état de fonctionnement est visitable. Elle
appartenait aux frères Philibert.
La source du Lison est une résurgence qui sort dans les calcaires oolithe à la tête d'une reculée. |
La
source du Lison
La source du Lison est une résurgence qui sort dans les calcaires oolithe à la
tête d'une reculée. Cette source est localisée topographiquement au fond de
la reculée de Nans-sur-Sainte-Anne, qui entaille les reliefs formés par le
faisceau salinois et le bord du plateau. Les plateaux ont été aplanis, et les
failles qui l'affectent ont été nivelées par des rivières miocènes dont la
plupart des vallées, actuellement actives ou assèchées, dérivent
probablement. Un relèvement général de la région et des déformations
tectoniques sucessives ont eu pour conséquence un enfouissement partiel de la
circulation des eaux.
- Le creux Billard, véritable regard entre ciel et terre, reçoit donc le Lison
du haut, et draîne les écoulements du réseau des cavités amont (grotte
nord). Au fond du Creux Billard, une énorme perte rejoint le cours profond du
Lison souterrain.
- Deux vastes galeries noyées ainsi qu'un réseau de fissures viennent aboutir
30 mètres plus bas, apportant, en saison normale, l'essentiel de l'eau du Lison
qui réapparaît presque immédiatement à la Source du Lison.
En basses eaux, seul le réseau noyé alimente la Source du lison. Les écoulements
des réseaux aériens sont très faibles, le débit de la Grotte Sarrazine
insignifiant.
En crue, le réseau souterrain se gorge d'eau. Le conduit principal d'évacuation
vers la Source du Lison, de trop petite section, ne peut plus absorber toute
cette eau provenant du plateau concentrée en un lieu. L'excédent des eaux s'évacue
alors vers la Grotte Sarrazine. Cette résurgence de crue est le premier
affluent superficiel du Lison.
Ainsi, toutes les eaux du plateau convergent vers un seul cours d'eau, le Lison,
dont le destin est d'alimenter un autre cours d'eau, non moins capricieux : la
Loue.
La taillanderie
Cette
ferme-atelier, datant du XIX siècle est située à environ 2 km de la source du
Lison dont elle utilise les eaux pour actionner les roues hydrauliques. Le nom
de « taillanderie » est utilisé pour désigner les ateliers destinés à la
fabrication des outils coupants (faux, serpes, etc..) pour les besoins de la
paysannerie.
Deux séries de roues hydrauliques sont utilisées :
Les deux soufflets, situés à l’extérieur de l’atelier, sont mus par un
système de bielles entraînées par une série d’engrenages reliés à une
roues à aubes. Cet ensemble de soufflerie unique en Europe et datant de
A l’intérieur, l’atelier de forgeage est alimenté en force motrice par une
machinerie composées de deux roues hydrauliques, d’une trentaine de tonnes.
Cette machinerie actionne une série de martinets, dont la tête de 250 kg
frappe le métal à la cadence de 150 coups minute.
Cette machinerie actionne une série de martinets, dont la tête de 250 kg frappe le métal à la cadence de 150 coups minute. |
C’est dans ce bruit assourdissant qu’une quinzaine d’ouvriers ont œuvré
jusqu’en 1969, date de la fermeture de la taillanderie.
Aujourd’hui, les visiteurs ont le loisir de visiter cet atelier et d’apprécier
l’ambiance, toute particulière, du travail du siècle passé, au travers du
fonctionnement des martinets et d’une salle d’exposition qui retrace les
conditions de vie des ouvriers forgerons et de la fabrication des outils
taillants.
Pont
du diable
Sur la route qui relie Crouzet-Migette et Ste-Anne, le Pont du Diable franchit un canyon profond. Dans un site de falaises blanches, d'escarpements et d'éboulis, l'arche centrale du pont paraît si audacieuse que pour la réaliser comme dit la légende, l'artisan a dû signer un pacte avec le Diable. La tête sculptée sur la clé de voûte de l'arche centrale semble l’attester.
le Pont du Diable franchit un canyon profond , dans un site de falaises blanches, d'escarpements et d'éboulis |
Montmahoux
Montmahoux est
une commune française, située dans le département du Doubs et la région
Franche-Comté.
Les habitants de
Montmahoux s'appellent les R'lavoux
Montmahoux est un
splendide village du Doubs (Franche-Comté) niché en plein cœur des montagnes
du Jura, symboles d’une symbiose parfaite entre l’Homme et la Nature.
Symbiose que
Montmahoux a su préserver parfaitement au fil du temps, comme le prouvent la
beauté et la pureté de ses paysages.
Mais Montmahoux
c’est aussi une Histoire très riche et abondante de mystères et légendes.
Notre côté
altruiste et accueillant nous invite à vous faire quelques confidences sur ces
mystères et légendes, comme ce trésor qui serait enfoui depuis plusieurs siècles
sous le mont « Mahoux » …
Montmahoux est une commune française, située dans le département du Doubs et la région Franche-Comté. |
Depuis la
naissance du village, Montmahoux recèle de mystères. Transmis de génération
en génération, les histoires, légendes et autres racontars concernant le
village et sa butte n'ont cessé de semer de nombreuses interrogations ...
Le château,
acteur incontestable de l'histoire de toute la Franche-Comté, recèle de
nombreux secrets ... auxquels personne n'a jamais pu donner de réponse.
D'ailleurs, la destruction hâtive de ce château expliquerait la présence d'un
trésor d'une valeur gargantuesque enfoui au sein même de la butte.
Mais il y a aussi
bon nombre d'autres légendes que nous vous invitons à découvrir ... Et peut-être
percerez-vous l'un ou l'autre de ces mystères ...
La
destruction du Château n’a pas engendré la disparition de son Trésor
En effet, selon
de nombreux dires et documents, un Trésor d’une valeur incommensurable serait
toujours enfoui dans les galeries souterraines de l’ancien Château.
Galeries qui,
soi-disant, reliaient les châteaux entre eux (notamment avec celui de
Sainte-Anne) pour permettre la fuite de ses habitants en cas d’assaut sur le
village.
Mais rien ni des
galeries, ni du Trésor, n’a été retrouvé depuis les siècles que le Château
a été détruit.
Comble du hasard,
un relais de plusieurs mètres de haut, situé à la place du disparu château,
trône comme pour indiquer l’emplacement de ce trésor. Or personne n’est
jamais parti réellement à sa recherche si ce ne sont quelques curieux … qui
n’ont malheureusement toujours rien trouvé !
Et, avec le temps
qui passe, ce sont des indices qui s’effacent et des bouches qui se taisent.
Alors … courrez
vite à la recherche du Trésor !
La destruction du Château n’a pas engendré la disparition de son Trésor |
LA ROCHE QUI
DANSE
Lorsqu'on
est en haut du mont de Montmahoux, qu'on regarde plein sud, on a sous les yeux,
en contrebas, un rocher dont la surface plate est d'environ 40 m². On peut y
accéder assez aisément en se laissant glisser sur l'herbe. Cette superbe
roche, que l'on croirait taillée, nous offre une vue plongeante sur
Nans-Sous-Sainte-Anne.
Il existe une légende
qui dit que ce rocher « danse » 1 fois tous les cent ans.
Mais le problème
est de savoir quand la roche a dansé pour la dernière fois !
Par conséquent
cette roche peut danser maintenant comme dans quelques mois voire quelques décennies
!
Mais cette roche
n’est pas maléfique, bien au contraire : on dit que quiconque la verra danser
connaîtra un bonheur exceptionnel et permanent durant toute sa vie.
Alors ne soyez
pas surpris si vous voyez des enfants (ou même des adultes !) en train
d’attendre patiemment sur la roche …
Jusqu’à
aujourd’hui personne ne l’a encore vu danser ; et pour certains ce n’est
pas faute d’avoir attendu !
Maintenant, si
vous voulez découvrir cette roche (et peut-être la voir danser !), venez à
Montmahoux …
Si vous prenez le
sentier pédestre en destination de Déservillers, vous découvrirez au bord du
chemin, juste à la sortie du village de Montmahoux, une toute petite rivière.
Auparavant s’y trouvait en sus une fontaine, qui a été généreusement
offerte par la municipalité au musée des maisons comtoises de Nancray en février
2003.
Cette petite rivière
possèderait dit-on un atout indéniable : elle serait intarissable !
Quel que soit
l’état météorologique (chaleur, canicule, …), cette rivière sans prétention
laisse toujours échapper un filet d’eau non négligeable.
Bien que de
nombreuses hypothèses soient émises, ce mystère reste aujourd’hui encore
inexpliqué
Déservillers
Déservillers est
une commune française, située dans le département du Doubs et la région
Franche-Comté.
Déservillers est situé à une altitude comprise entre 611 mètres et 866 mètres,
sur le rebord du deuxième plateau du Jura, à l'est de Besançon, dans le
Doubs. Vers l'Ouest, la vue est impressionnante et dépasse le faisceau bisontin
situé à 30 km. A l'Est, par beau temps, la silhouette du Mont Blanc coiffe une
longue série de crêtes anticlinales allongées en fuseau. Le finage du village
est à cheval plusieurs terroirs complémentaires : le village sur le pli-faille
où émergent les sources, le terroir de plateau calcaire (appelé plateau
d'Amancey) qui fournit les céréales (blé et orge aujourd'hui, mais aussi
avoine dans le passé), plateaux secs karstiques avec des avens, gouffres,
gorges à l'est du village offrant les pâturages communaux (appelés les Crêtes),
ainsi que des prés humides (Prés neufs, Prés de la Vieille folle, la
Broche)sur quelques couches marneuses d'âge secondaire, plus humides et très
exploités aussi dans cette région d'élevage. La commune compte, évidemment,
des forêts mixtes de feuillus et résineux, propriétés privées et
communales.
1273 est la date de fondation de cette fruitière
Clocher Comtois de Déservillers |
Déservillers subit les malheurs des temps, obligeant parfois les villageois à
s'expatrier au loin. Pendant la terrible guerre de Dix Ans, le village se vide,
passant de 300 âmes en 1614 à 160 en 1657 ; fuyant la misère certains vont
jusqu'en Savoie (Thonon).
Un siècle et demi plus tard, la conjoncture économique se dégrade encore et,
en 1771, des habitants participent à la fondation d'une colonie rurale à Cejc
(Moravie, région de la Tchéquie). Au XVIIIe siècle, le village appartient à
la châtellenie de Fertans. Lors de la Révolution française, l'application des
lois anticléricales provoque l'émotion chez les paroissiens. En 1791, on
signale Déservillers comme un « nid de fanatiques ». Le curé constitutionnel
est obligé de quitter la cure, remplacé par le curé réfractaire qui se
cachait probablement à la Roche bâtie, abri sous roche des Grands Bois. Les
troubles sont constants jusqu'à la signature du Concordat napoléonien.
Activités originales : Un groupe de jeunes de Déservillers
a développé une station de radio libre qui a émis pour la première fois avec
une antenne plantée sur un mât en sapin le 5 avril 1986. Prospère et
inventive, Villages FM qui a franchi les 20 ans d'existence espère porter les
couleurs de la ruralité locale grâce aux technologies numériques d'internet.
Elle possède d'ailleurs son site, www.villagesfm.com, qui permet une écoute
24h/24h. Elle diffuse ses programmes sur le 105.1 dans la Vallée de la loue et
le 107.5 en Franche-Comté. |
http://www.villagesfm.com/