Le
secret des Mayas
Tobago
Résumer
:
Une légende affirme que, dans la jungle d'Amérique Centrale, existe une cité perdue où est caché le Livre d'or des Mayas, révélant
lsecrets d'une civilisation aujourd'hui disparue. Le professeur Clairembart entraîne ses amis Bob Morane et Bill Ballantine dans une périlleuse exploration, au cours de laquelle ne cessera de se manifester une mystérieuse présence...
Montage
de scènes de l'aventure ( par Dan Kelbert )
Le plateau et la cité
Mayas
Survol du plateau par Morane et Clairembart |
Dans cette aventure qui se passe
en Amérique
Centrale dans un pays imaginaire ( le Tobago ) pas vraiment
d'avion, seulement un Curtis
piloter par Morane en reconnaissance avec le professeur Clairembart, au dessus
de la jungle du Tobago, à la recherche d'un temple Mayas.
Egalement l'avion de Bill Ballantine, à la recherche de Morane et clairembart ,
un drôle d'avion assemblé par Bill , un mélange hétéroclite d'un
(
fuselage de Curtis , des ailes de Breguet et un moteur Rolls Royce )
Infos Reflets ) la revue du club Bob
Morane.
Deux possibilités
sont à envisagées quand à l'assemblage de l'avion de Ballantine, soit sur la
base de l'illustration à l'intérieur du roman, qui représente Bill dans un
vieux biplan ! donc un assemblage de deux biplans ( Curtis-Breguet ) du début
du siècle !
Soit à l’époque ou à été écrit le roman par Henri Vernes ( 1964 ) donc
un assemblage de deux avions, ( Curtis-Breguet ) des années 50-60 et comme
citer dans ( Reflets
)
il peu s’agir des avions
( Breguet Br.1050
Alizé_ Curtiss SB2C Helldiver )
Infos
avions (
Reflets )
la revue du club Bob
Morane.
Curtiss
SB2C Helldiver
:
Le
Curtiss SB2C Helldiver surnommé « The beast » (La bête) par ses équipages
est un avion militaire de la Second Guerre mondiale.
Le SB2C fut le dernier avion de combat réalisé pas Curtiss mis en oeuvre par
l'US Navy et le premier bombardier monoplan conçu par cette firme. Destiné à
succéder au SBC Helldiver, le SB2C se présentait comme un monoplan à ailes
basses et à train escamotable. L'appareil entra en service en décembre 1942 et
fut construit à raison de 7200 exemplaires, parmi lesquels des SB2C-1, des
SB2C-1C mieux armés, des SB2C-3 plus puissants, des SB2C-4 capables d'emporter
des bombes et des roquettes sous voilure, des SB2C-5 dotés de réservoirs plus
volumineux, des SBF produits au Canada par Fairchild, des SBW fabriqués par
Canadian Car and Foundry, des A-25A, appareils terrestres extrapolés du SB2C-1,
et des Helldiver Mk 1, dérivés du SB2C-1 et destinés à la Fleet Air Arm.
Différentes versions du SB2 ( Avions historique de collection
) |
Conception
L'usine
Curtiss reçu comme la Brewster une commande de l'US Navy en mai 1939 en vu de
remplacer les Douglas SBD Dauntless comme bombardier en piqué sur les
porte-avions américains. Le prototype vola pour la première fois le 18 décembre
1940 mais fut détruit dans un accident quelques jours plus tard. Cet incident
ainsi que les nombreuses modifications (augmentation de la capacité d'emport de
carburant, réservoirs auto-stoppants, renforcement de l'armement de bord,
augmentation de la surface de la dérive et du gouvernail) entraîna un
important retard et même si le premier exemplaire de série vola en juin 1942
la première mission de guerre ne s'effectua que le 11 novembre 1943 avec le
bombardement de l'île de Rabaul.
Son
emploi
Toute
les opérations aéronavales de novembre 1943 à la fin de la Seconde Guerre
mondiale dans l'océan Pacifique.
Variantes
SB2C-1
: version de base
SB2C-3 : hélice quadripales et moteur plus puissant
SB2C-4 : supports alaires pour 8 roquettes ou 907 kilos de bombes, radar pour
l'emploi de nuit
SB2C-5 : capacité des réservoirs plus importante
A-25A Shrike: Désignation de l'USAAC pour le SB2C
Caractéristique
du SB2C Helldiver
A-25A Shrike :
Rôle
Bombardier : en piqué
|
Constructeur :
Curtiss-Wright Corporation
|
Premier
vol : 18 décembre 1940
|
Mise
en service :
11 novembre 1943
|
Date
de retrait : 1959 dans l'Aeronautica militare
|
Équipage :
1 piote + 1 opérateur radio/tireur
|
Motorisation :
Moteur Wright R-2600 Cyclone
|
Puissance
unitaire : 1 900 ch
|
Schéma du Curtiss SB2C Helldiver
|
Vitesse
maximale : 473 km/h (Mach )
|
Vitesse
ascensionnelle : 534
m/min
|
Distance
franchissable : 1 900 km
|
Armement :
Interne 2 canons de 20 mm dans les ailes, 2 mitrailleuses de7,62 mm à
l'arrière 900
kg de bombes ou 1 torpille dans la soute
|
Armement :
Externe Bombes de 250 kg sur chaque point d'attache
|
Breguet
Br.1050 Alizé :
qui
à servi à Bill dans la version de
l’époque ou à été écrit le roman par Henri Vernes ?
Le
Bréguet Aviation Br.1050 Alizé est un avion de lutte anti-sous-marine français,
embarqué à bord de porte-avions. Il a été mis en service au début des années
1960 et construit à 89 exemplaires (dont 12 exportés en Inde) utilisés
jusqu'en septembre 2000.
Conception
Après
l'abandon de l'avion d'attaque Breguet Br.960 Vultur, il fut décidé de
concevoir un avion de lutte anti-sous-marine à partir de la même cellule, qui
avait montré ses qualités. Le réacteur arrière du Vulture fut supprimé et
remplacé par un radar escamotable, tandis qu'un turbopropulseur Rolls-Royce
Dart était installé à l'avant. Le fuselage fut largement modifié, notamment
pour permettre d'installer un troisième membre d'équipage, ainsi que les ailes
qui reçurent des nacelles encastrées sur les bords d'attaque.
Le second prototype du Breguet Br.960 Vultur fut modifié comme démonstrateur
de l'Alizé, afin de permettre de valider certains des choix qui avaient été
effectués. Il conservait son moteur Armstrong-Siddeley Mamba mais n'avait plus
de réacteur, le poste de pilotage était entièrement modifié, les nacelles
installées sur les ailes et un radar fixe monté sous le fuselage. Ce fut
cependant un piètre démonstrateur à cause de ses caractéristiques de vols très
limitées et de son pilotage difficile.
Le premier des trois prototypes de l'Alizé fit son vol inaugural le 5 octobre
1956. Les premiers essais montrèrent de mauvaises qualités de vol qui nécessitèrent
une longue période de modifications et de mise au point. Le troisième
prototype disposait d'un moteur plus puissant, qui sera retenu pour la
production en série. Les essais de catapultage et d'appontage furent d'abord réalisés
à partir d'installations au sol (mai 1957) puis depuis un batiment anglais (le
HMS Eagle) en 1958.
Carrière
Les
prototypes furent suivis par deux avions de pré-série, et le premier
exemplaire de production livré en mars 1959. Entre temps, la commande initiale
de 100 exemplaires avait été réduite à 75. Au total, 89 exemplaires de
l'Alizé ont été construit entre 1957 et 1962, dont 12 destinés à l'Inde.
En France, les Alizés furent déployés sur les porte-avions Clemenceau et
Foch, mais aussi à terre pour l'entraînement. L'Aéronavale a modernisé les
Alizés à plusieurs reprises. Trente exemplaires furent modifiés en 1964-1965
pour recevoir le système de bouées sonores Jézebel et être capable de tirer
une torpille Mk-43 et le missile anti-surface AS-12. Au début des années 1980,
28 appareils furent mis à jour au standard ALM (ALizé Modernisé) avecun
nouveau radar Thomson-CSF Iguane (aussi utilisé sur l'avion de patrouille
maritime Atlantique NG), un nouveau système de navigation OMEGA, un détecteur
de radar ARAR 12 (Electronic Support Measure) et un système de traitement des
données émises par les bouées acoustiques.
Différentes images du Breguet Br . 1050 Alizé |
Un
autre programme de modernisation au début des années 1990 dotèrent 27
appareils d'un nouveau système de leurre et d'une nouvelle avionique avec bus
de données. Enfin, en 1996/1997, 15 avions furent dotés d'un système
optronique infra-rouge secteur frontal Thomson-CSF TTD Chlio. Malgré ces améliorations,
il était clair que les Alizés ne pouvaient plus faire face aux sous-marins
nucléaires modernes et les avions furent relégués au rôle de patrouilleurs
maritimes. A la fin de 1997, l'Aéronavale continuait à utiliser 24 exemplaires
pour des patrouilles côtières, même s'ils étaient clairement en fin de carrière.
Le dernier Alizé fut retiré du service en 2000 avec la mise à la retraite du
Foch.
L'Inde a utilisé ses Alizés à partir de bases terrestres mais aussi depuis le
porte-avions léger INS Vikrant. Le nombre d'exemplaires en service dans la
marine indienne a commencé à diminuer durant les années 1980. L'avion fut relégué
à des patrouilles depuis la terre à partir de 1987 et finalement retiré du
service en 1991, pour être remplacé par des hélicoptères.
Caractéristiques
du Breguet Br.1050 Alizé
:
Rôle :
Avion de lutte anti-sous-marine
|
Constructeur :
Bréguet Aviation
|
Premier
vol : 5 octobre 1956
|
Date
de retrait septembre : 2000
|
Équipage :
3 pilote, opérateur radar et des systèmes de détection, navigateur
|
Motorisation :
Moteur Rolls-Royce Dart RDa.21
|
Puissance
unitaire : 1565 kW en vol, 1950 ch au décollage avec injection eau/méthanol
+ 230 kg/p de poussée
|
Schéma Breguet Br 50
Alizé
Poste de pilotage du Br 50 |
Masses :
Maximale
8 200 kg
|
Vitesse
maximale : (au niveau de la mer) 459 km/h |
Vitesse
ascensionnelle : 421 m/min
|
Distance
franchissable : 1 850 km
|
Charge
alaire : 229 kg/m²
|
Armement :
Interne Torpilles ou charges de profondeur dans la soute interne
|
Armement :
Externe Bombes, charges de profondeur, roquettes ou missiles sous les
ailes
|
Assemblage
par Bill de la version biplan ?
La
base de l'illustration à l'intérieur du roman, qui représente Bill dans un
vieux biplan ! donc un assemblage de deux biplans
( Curtis-Breguet ) du début
du siècle ! et d'un moteur Rolls Royce.
(
fuselage de Curtis , des ailes de Breguet et un moteur Rolls Royce )
Avion
Biplan :
Un
biplan est un avion pourvu de deux paires d'ailes, l'une au-dessus de l'autre.
Si une des paires d'ailes est moitié plus petite que l'autre, on parle plus précisément
de sesquiplan.
Cela permet de diminuer l'envergure pour une surface alaire donnée, donc de
faciliter la construction et le stockage de l'avion, mais a l'inconvénient
d'augmenter la traînée par multiplication par deux des tourbillons marginaux.
Les avions à trois paires d'ailes sont des triplans.
Les biplans ont eu leur heure de gloire aux environs de la guerre de 14, mais on
en fabriqua beaucoup jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, par exemple pour
embarquer sur les porte-avions ou pour l'acrobatie.
Un modèle célèbre utilisé dans la voltige, seulement détrôné par les
avions modernes : le Stampe SV4.
Moteur Rolls-Royce
Merlin
:
La
lignée des Rolls-Royce Merlin est une famille de moteurs d'aviation, mis au
point lors des années 1930 par la firme britannique pour combler un manque dans
sa gamme entre les Rolls-Royce Kestrel de vingt deux litres de cylindrée et les
fameux Rolls-Royce R de 36 litres qui équipaient les hydravions de course de la
firme Supermarine. Grâce à une puissance massique importante, ils furent
considérés comme parmi les meilleurs moteurs de la Seconde Guerre mondiale.
Ils furent produits à 168 040 exemplaires, dont 55 873 par Packard aux USA. Le
nom de ce moteur ne vient pas du légendaire magicien du roi Arthur, mais du nom
du faucon émerillon en anglais.
Le développement fut entrepris sous la forme d'une initiative privée sur fond
propres d'Henry Royce, en 1932, sous le nom de PV-12 (PV pour private venture).
En octobre 1933, l'Air Ministry accepte de financer le développement et donne
le nom de Merlin au moteur. Une première version apparaît en juillet 1934 : le
Merlin A, capable de fournir 790 chevaux à 2700 tours par minutes. Mais le
moteur souffre de nombreux problèmes, principalement au niveau des engrenages
du réducteur et des chemises de liquide du système de refroidissement par évaporation.
Le Merlin B qui suit est pourvu de quatre soupapes par tête de cylindre montées
à 45° comme sur les moteurs d'automobile de la marque. Essayé en février
1935, ce moteur fournit une puissance de 950 chevaux. Le Merlin C, voit la
fabrication changée par le coulage en trois parties du carter et des deux blocs
de cylindres, les soupapes sont toujours à 45°.La version E (qui dérive du C)
est assez fiable pour passer le test des cinquante heures, fournissant 955
chevaux avec des pointes à 1045. Le F est en préparation quand est proposé le
Merlin G' qui présente des soupapes verticales parallèle aux cylindres. Ce
moteur se révèle meilleur et passe le test un mois avant le modèle F. La
production de série est lancée, le Merlin F devient Merlin I, mais la
production est rapidement arrêtée après 172 exemplaires, le modèle G (Merlin
II) étant produit en grandes quantités. Le moteur est essayé pour la première
fois en vol en 1935 sur un Hawker Hart.
Le liquide de refroidissementn retenu est l'éthylène glycol produit par la
société Prestone aux États Unis. Suite à la demande de l'Air Ministry en
1936 de fournir des chasseurs modernes pour la RAF, les deux seuls avions à l'étude
capables de satisfaire les demandes sont le Hawker Hurricane et le Supermarine
Spitfire. Tous les deux utilisant le Merlin, ce moteur devient essentiel à
l'effort de guerre britannique.
Les premières séries de moteurs souffrant d'une fiabilité douteuse,
Rolls-Royce lance alors un superbe programme de contrôle de la qualité qui
allait faire la renommée de ses moteurs. Certains moteurs étaient prélevés
à la sortie des chaînes de montage et on les faisait tourner sur un banc, à
pleine puissance jusqu'à la panne. Ils étaient alors démontés pour trouver
la pièce qui avait cédé, la pièce était alors retravaillée pour être
rendue plus résistante. Après deux ans de cette procédure, les Merlins étaient
devenus des moteurs extrêmement fiables capable de tourner pendant huit heures
à plein régime, sans aucun problème.
Description
et caractéristiques du Merlin 61 :
Le
Merlin est un V-12 essence, ses deux rangs de cylindres sont à 60°; l'allumage
se fait selon la séquence : 1A, 6B, 4A, 3B, 2A, 5B, 6A, 1B, 3A, 4B, 5A, 2B (le
cylindre 1A étant le plus éloigné à droite par rapport au pilote).
Chaque cylindre est pourvu de deux soupapes d'admission et de deux d'échappement,
ces dernières sont refroidies au sodium, et actionnées par un arbre à cames
en tête. L'alimentation du moteur est réalisée par un carburateur doté d'un
contrôle automatique de la richesse. L'air est fourni par un compresseur à
deux étages à deux vitesses, le flux d'air étant refroidi entre les deux étages
par un échangeur de chaleur. Le liquide de refroidissement est un mélange de
70% d'eau et 30% d'éthylène glycol pressurisé. La lubrification est assurée
par un circuit d'huile qui comporte une pompe de pression et deux pompes de
vidange.
Illustration
MJ Dessin Sanahujas
Schéma assemblage 1
Schéma assemblage
2 Moteur Rolls Royce_Merlin |
Caractéristiques
du Merlin 61 :
Taux
de compression : 6:1
|
Puissance
spécifique : 43,3 kW par litre
|
Rapport
puissance/masse : 1,57 kW par kg
|
Puissance
: 1565 ch (1 170 kW) à 3000
tours par minute à 3740 mètres d'altitude.
|
Puissance
: 1390 ch (1 035 kW) à 3000
tours par minute à 7170 mètres d'altitude |
Il est vraiment dommage de ne pas avoir de
description plus précise de l'auteur ?
Source
de la documentation avion ( Wikipédia
)
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